vendredi 9 mars 2018

Il faut choisir se moquer de "l'homme-bio illuminé" ou tenter de comprendre ce que nous dit le marché.



Il est bon que l’homme–bio soit assimilé à un illuminé.
 Un homme de déraison qui agit de manière illogique. Condamnant  ainsi et de fait les pratiques qui sont les siennes.
 Tout change lorsque le marché prend ou re-prend la main
 Aujourd’hui la demande de vin bio est importante.  Les exigences de qualité également.
 Certains y répondent avec métier.
 Faisant du coup ressortir et soulignant la non qualité des produits conventionnels parce que chargés  de résidus de pesticides  et autres produits nocifs pour la santé des humains.
La valeur de cesVins conventionnels ne peut que se dégrader et au fil des ans.
Les stocks de vins conventionnels  approcheront progressivement une valeur zéro.
 On regrettera alors le BIO-saltimbanque.Il était facile de s'en moquer.
 Le marché lui ne plaisante pas.